Saint-Gobain : des voeux 2025 portés par un optimisme sans faille

Avec des résultats 2024 en progression à deux chiffres qui valident la stratégie du groupe dans son rayonnement à l’international pour une construction et une industrie toujours plus durable, l’année 2025 entend viser encore plus loin et plus large. Inscrite dans la symbolique des 360 ans de Saint-Gobain, elle y répondra dans l’écho d’une dynamique à 360 °. Un élan qui se veut encore plus percutant pour consolider les acquisitions, les partenariats et les investissements en vue de continuer à optimiser la boucle vertueuse. Benoit Bazin, Président-Directeur général du groupe, entend ainsi démontrer qu’on peut être performant et décarboné tout en faisant de la croissance !

Dans un contexte géopolitique et économique complexe, doublé d’une conjoncture négative sur le marché européen, les vœux formulés ce jeudi 9 janvier par Benoit Bazin, Président-Directeur général du Groupe Saint-Gobain, dérogent de la morosité ambiante. Porté par un optimisme sans faille, le Groupe annonce avoir tenu son cap. « L’année 2024 aura été une très belle année de succès, démontrant à la fois notre qualité d’exécution opérationnelle, et la pertinence de notre stratégie de leader mondial de la construction, » précise ce dernier. Ainsi, les résultats 2024 entérinent une croissance à deux chiffres supérieure aux 11 % réalisés en 2023. Soit une progression pour la quatrième année consécutive qui a généré une reconnaissance favorable des marchés financiers, l’action du Groupe ayant progressé de 28 % en 2024. De quoi positionner le groupe en cinquième position des meilleures performances du CAC 40. Cette performance répétée sur les deux dernières années se corrèle inévitablement à sa puissance à l’international mais aussi à une stratégie volontariste pour transformer durablement la construction et l’industrie. Une transition environnementale nécessaire pour relever les nombreux défis de notre temps, allant du réchauffement climatique qui génère des évènements climatiques extrêmes à l’instar du cyclone dévastateur de Mayotte, au besoin urgent de logements dans un contexte démographique croissant.

Fer de lance de la stratégie, la lutte contre les émissions de CO₂ passe donc inévitablement par des investissements industriels ciblés, créateurs de valeur, mais aussi par une croissance interne au rythme de 24 nouvelles usines ou lignes de fabrication, et externe avec 29 acquisitions finalisées ou signées pour un peu plus de 5 milliards, au Canada, en Australie, en Inde et au Mexique. Elle relève aussi d’une stratégie RSE inscrite dans la logique de l’innovation technologique pour déployer une palette de solutions plus large et plus vertueuse, dopée par un savoir-faire commercial au service des engagements environnementaux et climatiques et ce, partout dans le monde.